Depuis plus de 20 ans, nous partageons nos compétences, notre savoir-faire et les valeurs qui nous animent pour vous aider à concrétiser vos souhaits. Nous mettons à votre service les compétences de chacun, la dynamique et la synergie d’une équipe.
Avec une couverture nationale, et plus particulièrement Toulousaine, Parisienne et Marseillaise, VALYTIS CONSEIL, société adhérente de la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP), association agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), se positionne entre le cabinet individuel, devenu inadapté aux mutations du métier, et les grands groupes financiers, souvent éloignés des attentes clients.
Pour faire face aux méandres d’une crise financière et économique mondiale et d’une législation en mutation permanente, nous n’avons cessé d’évoluer, à vos côtés, dans la continuité de notre action passée et le respect de nos valeurs.
Vous accompagner, cela signifie transmettre les éléments de nature à éclairer vos choix patrimoniaux afin de « savoir pour choisir librement ».
Cette démarche et cet esprit semblent répondre à vos attentes puisque vous êtes plus nombreux chaque année. Je vous en remercie !
Bien à vous, Steve Bouloux Créateur & Gérant de Valytis Conseil
Pour répondre à vos besoins, nous proposons des conseils personnalisés pour vous accompagner durablement dans la constitution, la protection, l’optimisation et la transmission de votre patrimoine.
Steve BOULOUX
Gérant de VALYTIS CONSEIL
Master II Ingénierie du Patrimoine
Ingénierie financière et patrimoniale
Fadhéla DJOURI
Responsable Back-office & Branche prévoyance
BTS Assistance Secrétariat Trilingue
Manon MARCHAND
Responsable communication intra et extranet
Licence Communication des Organisations
DU Cultures & Techniques Internationales
DUT Techniques de Commercialisation
Assistance administrative
Rosane COURTOIS-BOULOUX
Gérant de VALYTIS CONSEIL
Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocats (CAPA)
Avocat en droit des Affaires et des Personnes pendant 18 ans
Diplôme de Juriste Conseil d’Entreprise (DJCE)
DESS Droit des Affaires
Ingénierie juridique
Alexandre RENEVIER
Ingénieur patrimonial
Master II Ingénierie du Patrimoine
Ingénierie financière et patrimoniale
Steve
Bouloux
Fadhéla
DJOURI
Manon
MARCHAND
Rosane
COURTOIS-BOULOUX
Alexandre
RENEVIER
Nos valeurs
Vous aider à développer vos projets en confiance ; avoir à cœur de le faire avec probité, loyauté, compétence… Ces valeurs partagées font notre différence.
Vos projets, nos solutions
Vos projets, nos solutions
Vos projets, nos solutions
VALYTIS CONSEIL accompagne particuliers, professions libérales et dirigeants d’entreprise dans leurs choix patrimoniaux sur les plans juridiques ou financiers, personnels ou professionnels.
VALYTIS CONSEIL propose des solutions et stratégies adaptées à chaque phase, qu’elle soit de constitution, de développement ou de transmission du patrimoine.
Une démarche rigoureuse
Pinel
Le dispositif Pinel permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu pour l’acquisition ou la construction d’un logement neuf, en contrepartie d’un engagement à le louer nu à usage d’habitation principale et à un prix inférieur à celui du marché, pendant six ans minimum.
Madelin
Le contrat retraite Madelin, réservé aux travailleurs non salariés, non agricoles, permet de constituer un complément de revenu versé à vie et offre un cadre fiscal avantageux : les cotisations versées sont déductibles du revenu imposable, dans la limite des plafonds de l’article 154 bis du CGI.
PEE/PERCO
Le Plan d’épargne entreprise (PEE) et le Plan d’épargne retraite collectif (PERCO) sont des dispositifs d'entreprise qui permettent aux salariés de se constituer une épargne dans un cadre social et fiscal avantageux.
PERP
Le Plan d’épargne retraite populaire (PERP) est un produit d'épargne à long terme qui permet d'obtenir, à partir de l'âge de la retraite, un revenu régulier supplémentaire.
Malraux
La loi Malraux permet aux propriétaires d’immeubles anciens d’obtenir une réduction d’impôt, calculée sur le montant des travaux réalisés par le bailleur. Les travaux doivent durer trois ans maximum et ne peuvent excéder 100 000 € par an.
Assurance-vie
L'assurance-vie est un contrat par lequel l'assureur s'engage, en contrepartie du paiement de primes, à verser une rente ou un capital à une ou plusieurs personnes déterminées.
LMNP
Le statut de loueur en meublé non professionnel (LMNP) permet aux propriétaires de biens locatifs dont les revenus n’excèdent pas 23 000 € par an. Il permet d’amortir le bien à hauteur de 80 % sur une période de 20 ans et de percevoir des revenus fonciers défiscalisés.
FIP/FCPI
Les investissements en Fonds d’investissement de proximité (FIP) et Fonds communs de placement dans l’innovation (FCPI) permettent aux particuliers qui le souhaitent d’apporter leur contribution au développement de PME non cotées répondant à certains critères, tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 18 % du montant de l’investissement réalisé.
SCPI
Les Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) sont des sociétés d’investissements collectifs ayant pour objet l’acquisition et l’exploitation d’un patrimoine immobilier. Outre la mutualisation des risques, elles permettent, notamment, la perception de revenus réguliers.
Compte-titre
Le compte-titre permet aux particuliers d’investir sur des valeurs mobilières de placement constituées d’actions et d’obligations, proposant ainsi une diversification du patrimoine avec l’espoir de rendements supérieurs aux placements sécurisés.
Assurance de prêt
L’assurance de prêt est indispensable pour sécuriser les risques liés au décès et à l’invalidité. L’emprunteur est libre de choisir l’établissement qui l’assure, optimisant ainsi sa couverture et les coûts correspondants.
Contrat de capitalisation
Le contrat de capitalisation permet de constituer ou de valoriser un capital et de générer des revenus complémentaires dans un cadre fiscal avantageux.
PEA
Le Plan d'Epargne en Actions (PEA) permet d’acquérir un portefeuille d’actions d’entreprises européennes tout en bénéficiant, sous conditions, d’une exonération d’impôt.
Prévoyance
Le contrat de prévoyance a pour objectif premier d’assurer la sécurité financière du souscripteur et/ou de ses proches en cas d’arrêt de travail, invalidité, décès, perte d’autonomie…
Girardin
La loi Girardin a pour objectif de développer l’économie de l’Outre-mer. Le dispositif donne droit à une réduction d’impôt tout en participant au développement économique et immobilier de l’Outre-mer.
Nous déterminons, avec vous, vos objectifs et besoins, votre degré de connaissance et d'expérience, votre tolérance au risque et capacité à subir des pertes, projet par projet afin de vous conseiller.
Nous vous conseillons
Nos compétences en droit du patrimoine, en économie, en investissements financiers et immobiliers, en technique bancaire ou d’assurance, nous permettent de vous assister dans de nombreux domaines.
Nous recherchons des produits adaptés
La multitude des choix de placements et leur complexité rendent plus difficiles la prise de décisions et requièrent de plus en plus de connaissances. L’offre est aujourd’hui pléthorique mais la qualité tant des produits que de leurs fournisseurs est incertaine. La sélection des produits est donc un point fondamental de notre mission.
Aussi, avons-nous établi un processus rigoureux, nous comparons donc et choisissons, pour soumettre à votre choix final, un ensemble de fournisseurs et de produits, présents sur le marché. Ce travail permanent et chronophage est indispensable à l'objectif premier de recherche de sécurité.
Nous disposons d'outils performants
Le siège social Toulousain offre :
des moyens informatiques innovants (logiciel de consolidation des comptes clients, logiciel d’analyse des performances financières, logiciel d’analyse et de gestion de patrimoine, gestion électronique des documents, logiciel d’expertise sociale retraite et prévoyance…),
une documentation actualisée (documentation juridique, presse spécialisée),
une formation continue régulière excédant les obligations légales.
Nous travaillons en partenariat
Convaincue du bien-fondé de l’interprofessionnalité, VALYTIS CONSEIL travaille, depuis 1997, en étroite collaboration avec divers partenaires professionnels du chiffre et du droit (Economistes, Experts Comptables, Notaires, Avocats, Fiscalistes).
Les mutations économiques, la complexité croissante des dispositifs législatifs conduisent nécessairement à une spécialisation accrue de chaque professionnel dans sa discipline.
C’est pourquoi, VALYTIS CONSEIL a, depuis de nombreuses années, construit un réseau de partenaires et des occasions de rencontres et d’échanges lors de réunions, formations, afterworks...
L’analyse globale de votre situation personnelle nous permet de vous guider dans vos choix.
Pour répondre à vos besoins et permettre la mise en œuvre de vos objectifs, nous préconisons des solutions juridiques, fiscales et financières en adéquation avec votre situation. Nous expliquons, conseillons, gérons la mise en place puis le suivi des supports juridiques et financiers sélectionnés, si nécessaire avec l’aide de professionnels choisis par nos soins pour leur compétence, ou de vos propres conseils.
La réalisation de notre mission repose sur une confiance et un engagement réciproque :
pour nous, une confidentialité totale relative aux informations transmises ;
pour vous, une communication spontanée et exhaustive des éléments constituant votre situation personnelle.
Notre relation contractuelle
Vous connaître :
Remise du Document d’Entrée en Relation
Régularisation du document de détermination de votre profil
Notre mission :
Régularisation d’une lettre de mission-cadre en matière de conseil patrimonial
Nos solutions :
Remise de rapports écrits, de préconisations financières
Au cours de la relation :
En fonction des besoins
Régularisation d’une convention d’abonnement
Régularisation de lettres de missions additionnelles en matière patrimoniale ou fiscale
Le Conseiller en Gestion de Patrimoine est un expert de la gestion de patrimoine ou de la gestion de fortune dont le rôle est de sélectionner les meilleures solutions patrimoniales et financières pour son client, selon ses besoins et au moment le plus opportun. Il est un généraliste du patrimoine qui vous accompagne, ainsi que votre famille ou votre entreprise, au moyen de conseils appropriés.
La chambre nationale des conseils en gestion de patrimoine (CNCGP)
VALYTIS CONSEIL, adhérente de la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine, syndicat représentatif de la profession de Conseils en Gestion de Patrimoine et association agréée par l'Autorité des Marchés Financiers, s'engage de ce fait, à :
respecter les réglementations en vigueur, réactualiser ses connaissances et ses compétences,
respecter un code déontologique,
souscrire une assurance Responsabilité Civile Professionnelle dédiée à la profession,
promouvoir l'interprofessionnalité.
La Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine sélectionne et contrôle ses adhérents, à leur entrée et pendant tout leur exercice, selon une procédure normée et restrictive, sous le contrôle des autorités de tutelle.
Statuts règlementaires et habilitations
Professionnel aux multiples facettes, le Conseil en Gestion de Patrimoine exerce son activité sous couvert de divers statuts règlementaires et habilitations. VALYTIS CONSEIL dispose de l’ensemble des autorisations, accréditions, formations et garanties nécessaires. VALYTIS CONSEIL est inscrite sur le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance, tenu et mis à jour par l'ORIAS (www.orias.fr), association bénéficiant d'une délégation de service public à cette fin, sous le n° 07001168.
Le statut de Conseiller en Investissements Financiers (CIF) Lire le détail
Les conseils donnés en matière de conseil en investissements financiers le sont rendus de manière non indépendante et reposent sur une analyse restreinte des différents types d'instruments financiers. La rémunération se fait par honoraires ou par commissions sur les instruments financiers.
Etablissements promoteurs de produits mentionnés au 1° de l’article L.341-3 du Code Monétaire et Financier (notamment établissements de crédit, établissements de paiement, entreprises d’assurance et sociétés de gestion d’organismes de placement collectif) avec lesquels VALYTIS entretient une relation significative de nature capitalistique ou commerciale : 123 IM, AMUNDI, CORUM, DEBORY ERES, ECOFIP, FIDUCIAL, FINAVEO, PRADO EPARGNE, INTER INVEST, LA FRANCAISE, M CAPITAL PARTNERS, NATIXIS, NEXTSTAGE AM, ODDO BHF, PERIAL, PRIMONIAL, URBAN PREMIUM, SOFIDY, TRUFFLE CAPITAL, VATEL CAPITAL…
Le statut d'intermédiaire en assurance (COA) Lire le détail
Courtier en assurance positionné dans la catégorie « b » non soumis à une obligation contractuelle de travailler exclusivement avec une ou plusieurs entreprises d’assurance.
Entreprises avec lesquelles VALYTIS peut travailler et travaille : AGEAS, ALLIANZ, APREP, APRIL, AVIVA, AXA, CARDIF, CD PARTENAIRES, FINAVEO, GENERALI VIE, MMA, NORDEA, NORTIA, ODDO BHF, PRIMONIAL, SURAVENIR, SWISS LIFE, UAF LIFE PATRIMOINE, UNEP…
Entreprises avec lesquelles il existe un lien financier (si VALYTIS détient une participation > à 10 % des droits de vote ou du capital d’une entreprise d’assurance ou si cette dernière détient une participation > à 10 % des droits de vote ou du capital de VALYTIS) : néant
Le statut d'Intermédiaire en Opérations de Banque et en Services de Paiement (COBSP) Lire le détail
Courtier en Opérations de Banque et en Services de Paiement (COBSP)
Etablissement(s) de crédit, de financement ou de paiement avec lesquels VALYTIS travaille : AXA BANQUE, BANQUE RICHELIEU
Etablissement(s) de crédit, de financement ou de paiement représentant plus de 33% du chiffre d’affaires en intermédiation en N-1 : Néant
Participation, directe ou indirecte, supérieure à 10 % des droits de vote ou du capital de VALYTIS détenu par un établissement de crédit, de financement ou de paiement : Néant
Le statut de Démarcheur bancaire et financier Lire le détail
Identité du ou des mandants pour lesquels VALYTIS exerce une activité de démarchage : Epsens…
Le statut de professionnel de la transaction sur immeubles et fonds de commerce Lire le détail
Titulaire de la carte professionnelle de transaction sur immeubles et fonds de commerce n°CPI 31012017000019934 délivrée par la CCI de Toulouse
VALYTIS ne peut recevoir aucun fonds, effet ou valeur.
Les compétences appropriées Lire le détail
Les conseillers de VALYTIS sont titulaires des diplômes nécessaires à une approche globale des problématiques patrimoniales.
La rémunération de Valytis Conseil
Elle diffère en fonction de son activité :
Conseils patrimoniaux
Conseils en Investissements Financiers
Intermédiation en Assurance
Intermédiation en Opération de Banque et en service de Paiement
Depuis de nombreuses années, VALYTIS CONSEIL échange avec vous sur l’actualité financière ou économique notamment, vous communique le fruit de ses recherches produits, organise pour vous des moments de rencontre autour de professionnels ou de responsables d’horizons divers…
Brexit - Et maintenant ?
Le Brexit a été voté.
La crise que l’Europe traverse n’a rien à voir avec les crises passées. Il s’agit d’une crise politique et non d’une crise financière, d’un phénomène local et non systémique.
Nous pensons que l’incertitude va changer de camp entre l’Europe et le Royaume-Uni. Elle est pour l’instant maximale sur l’Europe et faible sur le Royaume-Uni.
Pourtant le PIB de la Zone Euro est de 15.300 milliards d’Euros contre 2.100 milliards d’Euros pour le Royaume-Uni. Le rapport est donc de 1 pour 7.
Les banques centrales, Banque d’Angleterre et BCE en tête, peuvent aujourd’hui agir.
La situation est en cela très différente des crises de 2008 ou 2011 auxquelles le marché n’était clairement pas préparé.
La baisse du pouvoir d’achat, la contraction des importations, le report des investissements directs étrangers (IDE) et la perte de confiance des entreprises et des ménages pourraient plonger le Royaume-Uni en récession dès 2017.
Plus le Royaume-Uni perd du temps dans la négociation, plus l’Europe gagne en transfert de richesse et de pouvoir de négociation car la montre joue contre celui-ci (dégradation de la note souveraine, incertitude, chômage).
La baisse du momemtum arrive très vite car les conséquences se matérialisent déjà. Les banques réfléchissent déjà au transfert des activités de support vers d’autres destinations.
Airbus, dont la construction des ailes pour les avions est au Royaume-Uni, bénéficie d’un financement européen. Ce financement pourrait s’arrêter et Airbus pourrait alors changer de lieu de domiciliation.
C’est la différence entre le temps politique (long) et la réaction économique (trop rapide) surtout avec une balance courante en déficit de 5.2% du PIB qui requiert des flux d’entrée de capitaux massifs pour le financer.
Le nouveau leader conservateur sera élu le 2 septembre. Il devra décider ou non du déclenchement de l’article 50. Il semble que personne ne souhaite appuyer sur « cette gâchette » avant de connaitre les conséquences… Aujourd’hui, le Royaume-Uni souhaite connaitre les conditions de la part de l’Europe au préalable. L’Europe répond l’inverse en disant qu’il faut déclencher l’article pour commencer à négocier.
Il y a trois possibilités pour le Royaume-Uni qui semble rechercher l’accès au marché unique et une intégration européenne négociée :
1) Aucun déclenchement de l’article 50, retour en arrière : probabilité non nulle si situation de blocage politique. Le nouveau gouvernement est contraint d’organiser un second referendum.
2) Déclenchement de l’article 50, avec une sortie de l’UE mais une entrée dans l’Espace Économique Européen (EÉE) (type Norvège) : les Britanniques auraient accès au marché unique européen mais sans pouvoir politique : c’est le même prix que l’adhésion à l’UE mais avec une perte totale de pouvoir car l’accès à l’Espace Économique Européen requiert une adhésion aux 4 principes européens (libertés de mouvements des personnes, des biens, des capitaux, des services). Il faut aussi négocier des accords bilatéraux avec les partenaires non-européens.
3) Déclenchement de l’article 50, avec une sortie de l’UE mais avec des accords bilatéraux (type Suisse) : très long car il faut négocier avec les partenaires européens et non-européens.
Nous pensons que les méfaits du choc d’aujourd’hui pourraient s’avérer durables pour le Royaume-Uni ... Cependant, dans le contexte global actuel, le jeu des prévisions est assez périlleux…
Investissements : nous aurons tous des choix à faire
Pour tout type d'investissement, financier ou immobilier, il faudra choisir !
L’origine des taux bas :
En 2008, une crise aiguë a impacté le monde économique.
La sauvegarde du système nécessitait une réaction d’une grande ampleur. Les pouvoirs publics (Etats, Banques Centrales) ont déployé des mécanismes de sauvetage d’urgence, reprenant à leur charge, de fait, une grande partie des dettes qui pesaient sur certains acteurs privé (principalement des banques). L’asphyxie fut évitée de justesse pour l’économie mondiale. Cependant cette dette n’a pas disparu. Elle est devenue le fardeau des Etats.
Quels leviers pour réduire le ratio Dette / PIB :
Pour rendre soutenable un stock de dettes trop pesant par rapport aux richesses qu’il crée, un Etat dispose de plusieurs options.
Il agit directement sur le volume de cette dette soit :
En faisant défaut sur sa dette : les Argentins ou les Russes pourraient témoigner que cette solution n’est pas des plus avantageuse…
En faisant la guerre : « supprimer » son créditeur est en effet un moyen de ne plus rien lui devoir…
En réduisant ses déficits, c’est très long et peu efficace…de plus cette solution entraîne des effets récessifs majeurs, rendant le remède, au final parfois pire que le mal.
En augmentant le volume de son PIB en créant davantage de richesses pour absorber sa dette. Pour ce faire, un état dispose de 2 leviers fondamentaux :
Développer la croissance potentielle de l’économie par la mise en œuvre de réformes de structure,
Compter sur un redémarrage de l’inflation pour éroder le coût du service de la dette.
En attendant le développement de la croissance et/ou de l’inflation, il est important que le coût de la dette soit faible afin de ne pas asphyxier l’économie…d’où la baisse massive des taux d’intérêt depuis 2013.
Conséquences pour les fonds à capital garanti :
La baisse des taux d’intérêts provoquée par ces politiques monétaires sont extrêmement favorables aux états (emprunteurs) donc à nous tous ! Cela a en effet permis à l’Etat français de voir le taux d’intérêt auquel il se finance à 10 ans passer de 4 % en 2006 à moins de 0.5 % en 2016.
La contrepartie de cette baisse des taux pour les Etats est une baisse de la rémunération pour le prêteur, c’est-à-dire l’épargnant.
En effet, un fonds sécuritaire à capital garanti est composé en large majorité (>80 %) d’emprunts d’Etats. Or, puisque les obligations nouvellement acquises ne délivrent plus du tout le même taux d’intérêt que celles qui viennent d’échoir, la rémunération diminue...
Cette érosion du rendement du fonds-en-euro a donc vocation à se poursuivre encore un certain temps.
Dorénavant, soit les investisseurs choisiront :
Un investissement liquide et performant qui impliquera d’accepter de la volatilité,
Un investissement liquide et peu volatil qui impliquera de ne pas ou peu performer,
Un investissement performant et peu volatil qui impliquera d’abandonner la liquidité.
Le monde change et Valytis s'adapte !
Mise en place du prélèvement à la source à compter du 01/01/2018
La réforme du prélèvement à la source doit être mise en place à compter du 01.01.2018
Voici les grands principes de cette mesure :
L’objectif est de moderniser le recouvrement de l’impôt sur les revenus : ces derniers seront directement taxés chaque mois au titre de l’année en cours et non plus au titre de l’année précédente.
Les règles de calcul de l’impôt sur le revenu ne sont pas modifiées, seul le mode de recouvrement évolue.
Le prélèvement à la source concernera la plupart des revenus : salaires / pensions de retraite / revenus de remplacement (prélèvement automatique mensuel par l’employeur / la caisse de retraite...) mais également les revenus des indépendants (BIC/BNC) et les revenus fonciers (paiement de l’impôt sur le revenu via des acomptes calculés par l’administration fiscale sur la base de la situation passée et prélevés mensuellement ou trimestriellement).
L'obligation de déposer une déclaration annuelle de revenus est maintenue, elle permettra notamment de prendre en compte les réductions et crédits d’impôt.
2017 est une année de transition :
Afin de ne pas avoir à payer l’équivalent de deux années d’imposition en 2018 (à savoir le prélèvement à la source portant sur les revenus de 2018 auquel s'ajouterait l'impôt portant sur les revenus de 2017), il est prévu l’instauration d’un « crédit d’impôt exceptionnel de modernisation du recouvrement » (CIMR) qui viendra annuler l’imposition portant sur les "revenus non exceptionnels" perçus en 2017.
Les "revenus exceptionnels" de 2017, eux, seront imposés en 2018 : dividendes, intérêts, plus-values, augmentation anormale des revenus traditionnels (l'objectif étant que certains contribuables ne puissent pas majorer artificiellement leurs revenus de l’année 2017).
Le bénéfice des réductions et des crédits d’impôt acquis au titre de 2017 est maintenu.
En pratique :
Le prochain avis d’impôt sur le revenu (réception prévue en août 2017) mentionnera le futur taux de prélèvement qui devrait être appliqué aux revenus du foyer à compter du 01.01.2018.
Concrètement, vous paierez :
En 2017 : l'impôt sur la base de vos revenus de 2016
En 2018 : l'impôt sur la base de vos revenus 2018
Certains considèrent, à tort, l'année 2017 comme une "année blanche" en terme de trésorerie ; il n'en est rien que cela soit en 2017, en 2018, ou au-delà...
Il existe à ce jour de nombreuses incertitudes autour de cette réforme dont la mise en place pourrait être conditionnée au résultat de la prochaine élection présidentielle...
Contexte politique...économique...et financier
Depuis la victoire du Brexit en juin dernier, le marché actions anglais s’est apprécié de 20 %. Depuis l’élection de Donald Trump, l’indice actions américain S&P 500 a gagné 9 %.
Les épargnants doivent-ils se réjouir des victoires populistes ? Manifestement non.
Le populisme passe par un appel direct « au peuple », rassemblant un leader charismatique et ses supporters dans un « nous » exclusif contre tous les autres ( « eux » ), les ennemis, tour à tour médias, institutions, immigrants, Chine, Bruxelles, juges, banquiers, riches… Le thème fondateur du « nous » contre « eux » donne au populisme sa force qui permet de bousculer profondément des majorités dominantes mais démobilisées.
Bien sûr, le populisme se nourrit d’une réalité économique qu’il serait dangereux d’ignorer. Mais il prétend y apporter de fausses solutions (nationalisme économique dans un monde interdépendant).
Les Négociations officielles de sorties entamées par le gouvernement britannique, le 28 mars dernier, s’annonce très éprouvantes pour le Royaume-Uni (facture initiale de 60 milliards d’euros présentée par la Commission Européenne avant tout début de discussion suivie d’une dégradation inéluctable de l’accès à son premier marché). Comment ne pas voir, en effet, que la Grande-Bretagne va devoir substituer à un accès privilégié au marché unique européen une multitude d’accords tout aussi contraignants qui devront être négociés un à un ? La baisse de la livre Sterling de 16 %, depuis juin 2016, illustre la menace de destruction de richesses qui pèse sur la Grande Bretagne et ce alors que le rythme d’inflation vient de passer, dans le même temps, de 0,5 à 2,3 % en février dernier entraînant une augmentation du coût de la vie pour la population britannique.
Aux Etats-Unis, l’effet psychologique de l’élection de Donald Trump (promesse de baisse d’impôts, d’investissements publics, d’assouplissement des contraintes réglementaires, de protections tarifaires…) a redonné confiance à de nombreux consommateurs et petites entreprises américaines. C’est ce que reflète la forte surperformance boursière du secteur financier depuis six mois. Mais les marchés commencent à envoyer de nouveaux messages. Le dollar s’affaiblit, le secteur technologique a repris la tête des performances sectorielle de l’indice S&P 500, les marchés actions émergents se sont appréciés de 12 % depuis le début d’année… Par ailleurs, l’incapacité de Donald Trump à faire aboutir ses réformes malgré une majorité républicaine au Congrès rappelle que les promesses populistes peuvent faire accéder au pouvoir mais se heurtent, par la suite, aux conséquences des clivages qu’elles ont créés. Monsieur Trump rencontre, en effet, l’extraordinaire difficulté de forger un consensus sur les conséquences de constats et d’engagements de campagne volontairement exagérés. Comment ignorer que les performances de long terme du marché actions américain tient pour beaucoup à la qualité de ses grandes entreprises de croissance et à son écosystème favorable à l’innovation lesquels n’ont rien à gagner à la mise en œuvre de politiques protectionnistes et à l’augmentation des déséquilibres des finances publiques ?
Les remous politiques de ces derniers mois montrent que la globalisation économique doit impérativement être apprivoisée. Mais, le populisme trompe les peuples en affirmant pouvoir sortir gagnant d’un rapport de force qu’il aurait initié. Comment ne pas voir qu’aucun pays occidental et plus encore européen ne sortira renforcé d’un mouvement isolationniste le livrant au monde, seul face à la Chine, seul face à l’Inde, seul face aux Etats-Unis… ?
Les choix politiques auront des conséquences pour les sociétés et pour les épargnants. Or, il serait ironique que la tentation populiste s’impose en Europe au moment où le cycle économique devient enfin favorable.
Car tel est bien le cas, le contexte économique est FAVORABLE...
Les marchés financiers le savent et pourraient le faire savoir encore prochainement...
Découvrez le premier numéro de l'ACTU VALYTIS
Nous avons le plaisir de vous présenter le tout premier numéro de l'ACTU VALYTIS.
L'ACTU VALYTIS, c'est un moment passé ensemble dans lequel nous aborderons régulièrement des thèmes macro-économiques, des actualités juridiques, fiscales et/ou patrimoniales mais également de grands mécanismes économiques.
Pour ce premier numéro, Steve BOULOUX a le plaisir de recevoir Jean-Noël VIEILLE, Directeur de la gestion de 360 Hixance AM.
Pour cette seconde édition de l'ACTU VALYTIS, Steve BOULOUX reçoit Michel DINET, Responsable des partenariats distribution Europe d'Edmond de Rothschild Management.
Ils abordent ensemble la manière dont il faudra orienter ses placements dans l'avenir.
Découvrez le troisième numéro de l'ACTU VALYTIS
Pour cette troisième édition, Steve BOULOUX reçoit Pascal BERNACHON, Directeur Général de KBL Richelieu Gestion.
Ils expliquent les dernières fluctuations des marchés financiers.
Perspectives 2020
En ce début d'année 2020, c’est la période des prévisions. Un classique incontournable !
Chaque prévisionniste, chaque économiste et tous les stratèges des grands établissements financiers se penchent sur leur boule de cristal pour donner les grandes tendances de l’année à venir. Or, cet exercice est totalement artificiel.
On l’a vu l’année dernière !
Les prévisions pour 2019, très pessimistes, ont été publiées … juste avant que le patron de la Banque Centrale Américaine ne s’exprime… et ne change totalement son fusil d’épaule.
On craignait que le cycle de hausse des taux américains qui avait provoqué la chute des marchés en 2018, ce qui n’était d’ailleurs pas du tout anticipé en janvier 2018, ne se poursuive et tous les spécialistes appelaient à la prudence.
Or, début janvier, le Président de la FED a décidé d’arrêter de monter les taux, et au contraire de les baisser (… 3 fois dans l’année !). Et ce simple événement, arrivé quelques jours trop tard, a totalement modifié la face des marchés.
Les indices boursiers ont fait fi de tous les événements géopolitiques négatifs (et il y en a eu…) et de toutes les données économiques défavorables (et là aussi il y en eu…).
On est passé, du jour au lendemain, de l’inquiétude au soulagement, du soulagement à l’optimisme, de l’optimisme à l’euphorie pour atteindre environ 20 % de hausse des principaux indices boursiers alors que, début 2019, peu prévoyaient une hausse du CAC supérieur à 5 %.
Aujourd’hui, le consensus est positif. Logique ! C’est toujours le cas après une année de hausse. À chaque fois qu’une année est haussière, les prévisions de l’année suivante sont optimistes. Et à chaque fois qu’une année est baissière, le consensus est à la prudence pour l’année suivante.
Les rapports des grandes banques, les prévisions des gestionnaires des grands fonds internationaux recueillis dans le Financial Times, le Wall Street journal… sont unanimes :
Les indices Américains ont un potentiel d’environ 10 % (très peu de stratèges anticipent une baisse),
Certains constatent que les indices européens et certains indices émergents sont en retard par rapport aux indices américains et conseillent donc de surpondérer l’Europe et surtout les pays émergents (discours qui n’a rien de novateur…),
Concernant les taux, les acteurs de la place tablent sur une stabilité, une absence de reprise majeure de l’inflation, toujours des taux négatifs dans les pays en ralentissement mais avec un petit retour à la normale et une FED prête à rebaisser les taux d’intérêt au moindre signe de ralentissement économique,
Concernant les devises, les acteurs prévoient une stabilité (rappelons que la volatilité de l’euro/dollar en 2019 a atteint son plus bas niveau de l’histoire de l’euro) avec quelques biais haussiers sur la livre sterling et quelques devises émergentes…
Et nous, dans tout cela ?
Nous allons vous livrer en toute transparence les méandres de notre réflexion car dans les prévisions, ce qui est intéressant, ce ne sont pas les prévisions, mais le raisonnement qui mène aux prévisions :
Le consensus de début d’année a systématiquement eu tort depuis très longtemps avec une mention toute spéciale aux prévisions de début d’année 2008 ou même du début 2018. Donc, il faudrait prendre le contre-pied des prévisions, surtout que…
…le contexte géopolitique est tendu et le restera toute l’année du fait, entre autres, des élections américaines. En année d’élection, Trump est capable de tout et nul ne sait s’il sera réélu ou si les États-Unis basculeront dans la vision démocrate de Warren ou Sanders.
Les profits des entreprises progressent moins et les valorisations, surtout aux États-Unis, sont élevées.
L’économie mondiale reste sous pression même si le ralentissement semble un peu marquer le pas. Cependant, l’évolution sociétale fait pencher la balance économique sur le chemin de la déconsommation, de la décroissance et de la déflation.
Donc compte tenu de l’ensemble de ces points, il n’y a pas de question à se poser : nous devons vous inciter à la prudence…
Seulement voilà, il y a les banques centrales. Et les banques centrales inondent le marché de liquidités. Elles maintiennent des taux bas, voir négatifs. Si la BCE ou la banque du Japon ou d’autres n’ont plus beaucoup de marges de manœuvre, la FED est encore loin des taux négatifs et la banque centrale chinoise a encore des moyens d’action.
Or, ce sont les taux bas voir négatifs… et l’action des banques centrales qui ont alimenté tout ce cycle de hausse des indices boursiers.
Avec deux facteurs clés :
Acheter des actions rapporte aujourd’hui plus que de laisser son argent soumis à des taux négatifs,
Les banques centrales, et notamment la FED, sont dans une logique de soutien des marchés en cas de baisse.
Toute la question est donc là : Les banques centrales ont écrasé la macro-économie et la géopolitique. Elles ont fourni des substances euphorisantes aux investisseurs, jusqu’à présent. Pourquoi ne continuerait-elle pas en 2020 ? Mais d’un autre côté peut-on parier sur la systématicité de ce positionnement de leur part ?
Nous avons donc trois possibilités :
Jouer les opposants. On vous appelle à la prudence. Si les marchés flambent, on aura l’air bête; s’il y a un problème, on pourra claironner.
Jouer les suiveurs. Cette attitude présente un avantage, si on se trompe, on pourra dire que tout le monde s’est trompé ; si la hausse continue, on pourra dire que l’on a eu raison.
Esquiver, en prônant la sélectivité, les valeurs plutôt que les indices… en sachant très bien qu’en cas de hausse, il sera impossible de battre les indices même en étant très sélectifs et qu’en cas de baisse, toutes les valeurs chuteront.
Donner un conseil dans ces conditions n’est pas facile.
Pour tout vous dire, nous ne sommes pas encore totalement décidés… En attendant, nous gardons donc toujours un profil principal plutôt « équilibré/prudent » et continuons à prôner la nécessité d’une gestion sérieuse, rigoureuse, adaptable ; l’acceptation des mouvements de volatilité ainsi qu’une indispensable diversification des stratégies.
Nous sommes à votre disposition afin de mettre en place une stratégie financière adaptée à vos exigences, besoins et objectifs ainsi qu’à l’ensemble des éléments constitutifs de votre situation.
Enfin, nous vous rappelons que VALYTIS CONSEIL vous assiste dans le domaine de la gestion financière, que ce soit par la voie bancaire ou assurantielle, dans le domaine de la prévoyance (protection et gestion des risques : capitaux décès-invalidité, garantie homme-clé…), dans le domaine de la préparation de votre avenir.
Le PER
Peut-être êtes-vous inquiets pour votre retraite ou celle de vos proches ? Vous n’êtes pas seuls…
72% des Français ne connaissent pas le montant de leur future pension(1) mais 83% pensent qu’ils auront une retraite insuffisante(2) et pourtant 52% des actifs n’épargnent pas en vue de leur retraite(3) !
La Loi PACTE a engagé un plan de transformation de l’épargne retraite et lancé, le 1er octobre 2019, un nouveau Plan d’Épargne Retraite (PER) au moyen d’un seul dispositif ayant pour vocation de remplacer les produits existants (PERP, Madelin, PERCO, Article 83…).
Ce nouveau dispositif est de nature à permettre à chacun de constituer des revenus complémentaires dans la perspective de la retraite afin d’anticiper la baisse inexorable des pensions versées par les régimes obligatoires.
Il s’adresse à tous : salarié, chef d’entreprise, travailleur non salarié, ou sans activité.
Ce dispositif unique bénéficie des anciennes caractéristiques des produits précédents auxquelles se sont ajoutées diverses possibilités procurant davantage de fluidité et de souplesse (avec quelques variantes en fonction des compartiments : versements volontaires, versements épargne salariale, versements obligatoires) :
Épargne libre sans obligation de versements réguliers
Déductibilité des versements des revenus imposables sous certaines limites
Épargne placée sur un fonds euros garanti et/ou des unités de compte (OPCVM, SCPI, …)
Sommes bloquées jusqu’à la retraite mais cas de sortie anticipée élargis (accidents de la vie et dorénavant acquisition de la résidence principale)
Options de sortie assouplies : sortie en rente viagère ou dorénavant en capital ou combinaison des deux
Abattement en matière de succession
Options de rente permettant de protéger ses proches
Transférabilité des produits sans frais sous certaines conditions
Diminution du forfait social (pour le chef d’entreprise) en épargne retraite obligatoire
Gestion pilotée par défaut
Ainsi, épargner pour sa retraite devient plus simple et plus attractif.
Nous sommes à votre disposition pour analyser avec vous les opportunités du nouveau dispositif PER tout en vous informant des points à prendre en considération, notamment, les stratégies fiscales envisageables, à l’entrée comme à la sortie.
(1) Baromètre de l’épargne 2018
(2) Enquête IPSOS pour le Cercle des épargnants
(3) Des indépendants et des entreprises
Cette communication est non contractuelle. Elle ne saurait être analysée comme une sollicitation quelconque. Elle ne saurait se substituer à une analyse personnalisée et vous permettre de vous engager auprès de quiconque, en l’état.
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